Les jeunes sont les premières victimes de la crise due à l’épidémie de Covid-19. Selon l’UNEF de nombreux jeunes rentrent sur le marché du travail sans moyens, sans protection sociale et sombrent dans la grande pauvreté – on estime aujourd’hui à 750 000 le nombre de jeunes sur le marché de l’emploi et dans une précarité extrême.
Ce constat est corroboré par le CESE selon lequel la crise a entraîné une « forte diminution des emplois disponibles, particulièrement ceux en contrat d’intérim, en CDD, certains types d’emploi avec ou sans contrat de travail », mais aussi « les contrats de stage, les contrats d’alternance ou encore les contrats d’apprentissage. Autant d’emplois occupés largement par les jeunes.
A l’occasion de la présentation du Budget régional 2021 qui intègre une partie des mesures de réponse à la crise notamment le plan #1_jeune_1_solution la FSU s’est fait l’écho de la déclaration du CESE « Jeunes, le devoir d’avenir » qui appelle à une réforme structurelle des politiques de jeunesse avec en premier lieu l’accès aux minima sociaux des 18-25 ans.
Vous lirez ci-dessous le texte de l’intervention de la FSU au CESER du 7 décembre :