Lors de son discours d’ouverture du Congrès du Mans, Bernadette Groison a souligné que « la FSU ne se ment pas à elle-même. La FSU sait reconnaître ses difficultés, affronter ses débats, et tant mieux lorsqu’ils sont parfois vifs, c’est le signe que la diversité et le pluralisme ne sont pas de vains mots à la FSU et que nous ne craignons pas la « dispute » (…). La FSU s’est engagée chaque fois qu’il était nécessaire, comme elle se l’était promis lors de son congrès de Poitiers : en proposant, en agissant et en cherchant à rassembler. »
Ci-joint le texte du discours d’ouverture du Congrès de la FSU.
Donner à voir un projet collectif, une vision de la société, lui dessiner un avenir… Il faut créer de « l’imaginaire commun » comme nous l’a dit Edwy Plenel lors d’un de nos conseils nationaux.
Tels sont les enjeux du mouvement syndical dans lequel la FSU s’inscrit.