Un congrès peut paraître quelque peu formel aux yeux d’observateurs extérieurs, un peu comme une sorte d’exercice imposé. Mais un congrès reste un moment précieux dans la vie d’une organisation, un moment qui permet aux militants et à tous les syndiqués, de débattre, de réfléchir, d’acter, de conforter, d’innover… bref de poser un instant la machine syndicale pour en ressortir plus fort.

Nous avons eu à cœur, tout au cours de cette semaine, et avant, dans les congrès départementaux, de travailler toutes les questions qui se posent à nous aujourd’hui.

Notre congrès, ce sont de nombreux débats, des votes (et beaucoup…), et encore des séances de débats… mais ce congrès ce sont aussi des retards à gérer, des imprévus à régler… et puis les pauses (syndicales…) à l’espace bar, la fête ou encore son carnaval !

C’est pour tout cela que je tiens à remercier les équipes départementales et nationales pour l’organisation efficace et l’ambiance agréable de ce congrès.

Après le congrès dit de la maturité à Marseille, celui de Lille restera certainement comme un congrès important porteur de dynamiques et de perspectives.

Beaucoup attendaient la FSU cette semaine sur la question de l’avenir du syndicalisme. Nous avons réaffirmé la définition de notre U. Ce U qui ne se limite pas au mot Unique (quoique…) mais qui signifie bien Unitaire. Ce U nous conduit aussi à relancer un appel à toutes les organisations syndicales qui souhaitent travailler avec nous.

De nombreux rendez-vous nous attendent dès la fin de ce congrès et nous y sommes prêts.