La question des rythmes n’aurait pas dû être la première entrée de la refondation de l’école.
La réforme, appelée par une partie de la communauté éducative, suscite bien des controverses. Le report de nombreuses communes à 2014, prouve combien cette réforme souffre d’une absence de moyens pour se hisser à la hauteur des ambitions annoncées.
Transformer les rythmes scolaires s’appuie sur le constat de journées de classe trop lourdes. Certes, une véritable refondation de l’Ecole est nécessaire, mais cette réforme des rythmes s’est faite sans les enseignants, et sans garantir la réussite de tous les élèves…
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- Déclaration préalable de la FSU 22 au CDEN du 28 juin 2013
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